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Toi l'homme de ma vie (Le Club Harlequin) de Mortimer, Carole sur ISBN 10 : 2280014068 - ISBN 13 : 9782280014069 - Harlequin - 1986 Ala recherche de l'homme de ma vie. Bonjour Pandora999, j'ai vu votre annonce sur le site MoiPourToi et je souhaite entrer en contact avec vous. Recherche l'homme qui sera à mes côtés pour vivre des moments doux, agréables, pleins de tendresse, complicité et d'amour. Où es-tu, ne te caches plus, viens me rencontrer, je t'attends. Pourles réveilles laborieux, rien de mieux qu’un beau maquillage pour estomper l’oreiller que j’avais d’étamper sur la joue. En me mettant sur le « cute » alerte, j’avais clairement envie de me faire « cruiser ». Par dessus tout, j’avais la ferme intention que l’homme de Leprojet de Dieu pour les hommes n'est donc pas une vie dans le péché, mais une destinée glorieuse: «Mais maintenant, affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, le fruit que vous portez, c'est une vie sainte, et le résultat auquel vous aboutissez, c'est la vie éternelle. Car le salaire que verse le péché, c'est la mort, mais le Ceque j'aime chez toi | Saison 4 - Episode 1 L'homme de ma vie ( 2005) Après s'être réveillée avec un anneau au doigt, Valerie est surprise de voir qu'elle a épousé son ancien patron, Vic Avis Site De Rencontre Gratuit Pour Les Hommes. La levée du corps fut assez difficile, sommeil perturbé oblige. Ce matin, j’allais devoir affronter la vrai » vie. Il y a de ces matins où la chose la plus intelligente à faire serait de rester coucher. Trop souvent, nous n’écoutons pas notre petite voix intérieure et nous suivons la voix de notre maudite raison. Même si je savais que j’allais trouver le temps long avant de pouvoir me blottir à nouveau sous mes couvertures, j’ai décidé malgré tout de me sortir du lit. Pour les réveilles laborieux, rien de mieux qu’un beau maquillage pour estomper l’oreiller que j’avais d’étamper sur la joue. En me mettant sur le cute » alerte, j’avais clairement envie de me faire cruiser ». Par dessus tout, j’avais la ferme intention que l’homme de ma vie me tombe dessus. Mon homme idéal est intelligent, beau et fort avec un soupçon de parfum frais boisé. Et j’allais le trouver aujourd’hui. La vie serait tellement plus facile si deux, trois coups de fards et de pinceaux avaient la même fonction qu’une baguette magique. Je n'aurais pas cette foutue impression d'être dans l'attente interminable de ma bonne fée marraine et le résultat de ma journée aurait été probablement bien différent J’ai appliqué beaucoup trop de maquillage dans mon visage et j’ai nettement l’air d’avoir une dizaine d'années supplémentaires à mon actif. J’ai mis du rouge à lèvre en série toute la journée et ma dernière cliente m’a jeté un 20$ au visage sans même me dire merci. En plus, en me dirigeant vers la maison, j’ai échappé mon soulier et personne ne l’a ramassé. Pas de note de tête pétillante, fraîche et vive. Pas l’ombre d'une odeur d'agrume, de romarin et de fleur d’oranger. Elle est où la belle journée ensoleillée? Elle est où la belle histoire? Je ne sais pas pourquoi, mais nous sommes très loin de mon rêve de la nuit dernière et à des années lumière d’une fin de soirée hyper sensuelle avec Amaretto. C’est devant un Basha extra sauce à l’ail que j’allais me consoler ce soir-là. Je savais au moins une chose, aujourd’hui, j’avais passé une bien mauvaise journée. Je savais surtout que je n’allais pas frencher », que ma fin soirée allait sentir l’ail et non un fond boisé de cuir, de vétiver d’Inde et de cèdre. Comme vous pouvez comprendre, ce soir-là, je n’ai pas trouvé l’homme de ma vie. Et l’Homme dans cette histoire!? Encore une déception. Je me suis encore fait larguer, mais cette fois-ci, d’une façon un peu plus adulte. Nous en avons discutés, nous en avons parlés. Beurk! Pourquoi les adultes on tant besoin de jaser. On peux-tu finir ça, that’s it!? » Et depuis, je l’appelle tous les jours. C’est quoi cette bêtise humaine? Même s’il m’a encore devancé sur celle-là, il a tout de même fini par me décevoir... L’homme de ma vie habite-t-il dans les parages? L’homme idéal existe-t-il réellement? Si l’homme idéal est pour moi un mythe son parfum est maintenant une réalité. Guerlain, l’Homme Idéal À suivre... Dans ma tête, chaque soir je redessine ton corp Je t'ai dans la peau et sans toi j'ai plus le goût de reussir Je suis prête à partir avec toi Je veux construire mon avenir Voir tes larmes, te voir sourir, te sentir dormir, Cette force on peut l'avoir qu'ensemble Cette belle vie qu'on attend on peut l'avoir qu' ensemble Traverser ces dures étapes, on peut le fair qu' ensemble On ne contredi pas le destin qui nous pousse ensemble Et tu vera je suis sûr qu'on se trompe pas de fair comme on a dit Tu sais, notre histoire c'est maintenant qu'on l'ecrit Moi ton visage je peux en fair un livre, un film ou un disque Maintenant à toi de voir si tu veu prendre le risque Chaque rêves on peut les vivres ensemble Pour moi l'amour c'est ensemble, le coeur ensemble Je suis même prête à ce qu'on meurt ensemble J'ai trouver mon bohneur dans l'interdit de la lois Et je prouverai qu'au dela des peines, de l'âge, et des couleurs Au dela de tout sa, moi je t'aime de rage et de douceur Tant que je briserai les barrieres qui me mènerons à toi Car toi et moi, j'aimerai qu'on devienne trois Posted on Saturday, 05 May 2012 at 730 PM Ce dimanche 14 août, Shy'm a partagé de nombreuses et craquantes photographies de l'amour de sa vie, à savoir son bout de chou de 19 mois, petit bonhomme à croquer. Depuis la naissance de son premier enfant, Shy'm poste - plus ou moins régulièrement - des photographies de son bambin sur son compte Instagram. Mais elle n'en aura sans doute jamais autant publié que ce dimanche 14 août. La chanteuse et comédienne a en effet partagé une série de dix clichés en "featuring avec l'amour de [sa] lv". Pas question de dévoiler l'identité de celui qui partage sa vie. Non, l'amour de sa vie en question n'est autre que son adorable bout de chou, moins que l'on puisse dire, c'est qu'effectivement, Shy'm est complètement gaga de son petit garçon de déjà 19 mois, qu'elle ne cesse de photographier. Après quatre selfies d'elle - dont un sur un jeu d'enfant dans un parc -, Tamara Marthe, de son véritable patronyme, a dévoilé de tendres tranches de vie avec Tahoma. On peut ainsi observer le bonhomme prendre la pose sur une moto, être assis par terre à côté de sa maman et prêt à dessiner, assis sur les genoux de Shy'm ou encore dans un train, prenant son goûter et vêtu d'un joli sweat bleu et blanc comme des Shy'm cache le visage de TahomaEn revanche, la sublime maman prend toujours soin, comme à l'accoutumé, de faire en sorte qu'on ne puisse pas apercevoir la jolie bouille de sa progéniture, usant de subterfuges. Ainsi, il est souvent photographié de dos. Sa main peut également cacher en partie l'objectif et donc son visage. Ou alors sa mère s'arrange pour prendre la photo d'au-dessus pour qu'on ne voit que son crâne caché par une casquette. Cheveux attachés ou belles boucles lâchées, Tahoma est à croquer. Quelques jours plus tôt, c'est même une vidéo que la nouvelle grande copine de Lucie Lucas partageait. On pouvait alors y visionner Tahoma, lunettes de soleil sur le nez et peignoir rose sur le dos, danser devant une platine vinyle. Nul doute que le bout de chou brisera des cœurs - et sait sans doute déjà user de ses charmes.© Denis Guignebourg 2/12 - Shy'm Pas question de dévoiler l'identité de celui qui partage sa vie, non, l'amour de la vie de Shy'm en question n'est autre que son adorable bout de chou, Tahoma © Instagram 3/12 - Shy'm et son fils Tahoma Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'effectivement, Shy'm est complètement gaga de son petit garçon de déjà 19 mois, qu'elle ne cesse de photographier © Instagram 4/12 - Shy'm et son fils Tahoma Shy'm a ainsi dévoilé de tendres tranches de vie avec Tahoma © Instagram 5/12 - Tahoma, le fils de Shy'm On peut ainsi observer le bonhomme prendre la pose sur une moto, être assis par terre à côté de sa maman et prêt à dessiner, assis sur les genoux de Shy'm ou encore dans un train, prenant son goûter et vêtu d'un joli sweat bleu et blanc comme des nuages © Instagram 6/12 - Tahoma, le fils de Shy'm En revanche, Shy'm prend toujours soin de faire en sorte qu'on ne puisse pas apercevoir la jolie bouille de sa progéniture, usant de subterfuges © Instagram 7/12 - Tahoma, le fils de Shy'm Ainsi, Tahoma est souvent photographié de dos © Instagram 8/12 - Tahoma, le fils de Shy'm La main de Tahoma peut également cacher en partie l'objectif et donc son visage © Instagram 9/12 - Shy'm et son fils Tahoma Ou alors sa mère s'arrange pour prendre la photo d'au-dessus pour qu'on ne voit que son crâne caché par une casquette © Instagram 10/12 - Tahoma, le fils de Shy'm Cheveux attachés ou belles boucles lâchées, Tahoma est à croquer © Instagram 11/12 - Tahoma, le fils de Shy'm Quelques jours plus tôt, c'est même une vidéo que Shy'm partageait lors de laquelle Tahoma, lunettes de soleil sur le nez et peignoir rose sur le dos, dansait devant une platine vinyle © Instagram 12/12 - Tahoma, le fils de Shy'm Nul doute que le bout de chou brisera des cœurs - et sait sans doute déjà user de ses charmes VIE DE BUREAU - Je n'avais pas spécialement prévu de reparler de toi, ni même de repenser à toi. Non. Depuis de longs mois maintenant, en fait depuis que tu m'as licenciée pour motifs économiques, tu ne fais plus partie de ma vie. Shutterstock / Shutterstock / Je n'avais pas spécialement prévu de reparler de toi, ni même de repenser à toi. Non. Depuis de longs mois maintenant, en fait depuis que tu m'as licenciée pour motifs économiques, tu ne fais plus partie de ma vie. Enfin, tu as bien essayé les premiers mois que ça soit encore le cas. Tu m'as harcelée. Chaque jour, chaque semaine pour que je te rende service. Je n'ai pas cédé, j'ai tenu bon. Mais à quel prix? Déjà, il fallait que j'accepte le fait que j'avais perdu mon travail après sept ans à travailler pour toi. Mais en plus de cela, il a fallu que je me batte contre toi. Alors que plus rien ne nous liait. Alors bien sûr, j'ai tout intériorisé et résultat, c'est mon dos qui a tout pris. À cause de toi, j'ai souffert et souffre encore parfois d'épouvantables douleurs au dos. Je ne te remercie pas. Je m'en serais bien passée, crois-moi. Alors, vois-tu, en cette fin d'après-midi, sans que je ne le vois venir, tu m'es revenu en pleine gueule. J'étais en face d'une personne pour un rendez-vous plutôt important. Et puis, cette personne m'a interrompue et m'a posé une simple question pourquoi avez-vous si peu confiance en vous?Chbam. Là, j'ai senti une énorme faille s'ouvrir en moi. La dégringolade. La dégringolade parce que la première chose qui est venue à mon esprit, c'est toi. 3 choses importantes à retenir pendant un entretien d'embaucheRecherche de logement ces salariés qui habitent chez leur patron à cause de la crisePourquoi il faut continuer à postuler pendant l'été Les images et les souvenirs se sont mis à danser devant moi. Tous plus désagréables les uns que les autres. J'ai repensé à toutes ces fois où tu me rabaissais, où tu me faisais comprendre que mon travail n'était pas satisfaisant alors que je me tuais à la tâche. Alors, bien sûr, tu n'avais pas le cran de me le dire en face. Non. Tu étais plus vicieux que cela et le faisais en pleine réunion devant les clients. Toujours une petite remarque pour dire que j'avais mal fait ci ou ça. Alors que c'est toi qui m'avais demandé de le faire. J'ai repensé à toutes ces fois où tu me vendais du rêve en me disant que tel projet, ce serait MON projet. Que j'avais carte blanche. Alors, moi, tu vois, j'étais ravie. Je me disais, enfin, c'est pas trop tôt depuis le temps. Alors, je me défonçais sur le projet. Ne comptais pas mes heures et rentrais chez moi le soir satisfaite de mon travail. J'avais enfin un peu d'autonomie dans le travail. Et puis, je revenais le lendemain matin et trouvais mon travail sur ton bureau, complètement modifié. Parce que tout compte fait, c'est toi qui allais t'en occuper. Tu étais comme ça, toi. Tu offrais la lune et la reprenais aussitôt. Pas une fois en sept ans, tu ne m'as dit que tu étais satisfait de mon travail. Tu prenais toujours tout pour acquis. Élodie, elle est gentille, elle fait tout ce qu'on lui demande. Ben oui, bien sûr, vas-y mec, hésite pas. Je me rappellerai toujours de cette fois pendant mes vacances de Noël, où tu m'avais appelée en me demandant de venir d'urgence au bureau parce qu'il fallait absolument rendre un projet. J'étais sur Paris, il neigeait. Ce jour-là, tu as perdu une grande partie de mon respect, je dois te le dire. Malgré mes congés, j'ai sauté dans le premier train. Sauf qu'à cause de la neige, il avait du retard. Alors, je suis arrivée 2h plus tard que ce que je t'avais dit au bureau. Oh le drame. Tu m'as accueillie avec un "c'est pas trop tôt, tu te moques de qui?". J'étais ravie, tu penses. Je n'étais pas de bonne humeur, j'ai fait mon travail en traînant les pieds, c'est vrai. Normal quoi. Et puis, j'ai quitté le bureau très tard dans la soirée. Et pour la première fois, j'ai osé te tenir tête et te dire ce que je pensais de cette situation. Je t'ai dit qu'il ne fallait pas que tu oublies ce que j'avais fait pour toi, un jour de vacances. Et que c'était la première et dernière fois qu'une chose pareille se produisait. Des anecdotes comme celles-là, je pourrais en raconter des dizaines. Sept ans, c'est long avec quelqu'un comme toi. On ne s'ennuie pas, oh ça non. Je ne savais jamais de quoi allait être faites mes journées. Tu étais tellement lunatique que tout pouvait basculer à chaque instant. Pour tout. Pour rien. Toi seul comprenais tes réactions et tes humeurs dans ces moments-là. Ce n'est qu'aujourd'hui, presque six mois après la fin de notre collaboration que je me rends compte à quel point tu m'as abimée. À quel point ton comportement a été vicieux, caché aux autres, durant toutes ces années. Au point que je ne me rende pas compte que chaque jour, tu grignotais davantage ma confiance en moi. Comme si tu t'étais mis en tête de faire de moi une bonne à rien. Au point qu'aujourd'hui, je le crois presque. Et que je suis incapable de croire en mes capacités. J'ai l'impression que je ne sais plus rien faire. Et tu vois, de ça, je t'en veux énormément. Je m'en veux aussi de n'avoir ouvert les yeux sur tout ça qu'une fois sortie de ton emprise. Maintenant, j'ai ouvert les yeux et je réalise qu'en réalité, le problème ce n'est pas moi. Non, c'est toi. Ta personnalité malsaine. Tu es malsain. Tu ne sais pas communiquer avec les autres autrement que par le mépris, la domination. Tu te crois le meilleur. Mais tu es si médiocre, en fait. Tu me fais limite pitié. Vraiment. Alors aujourd'hui, je voudrais te dire qu'en fait tu m'as rendu service en mettant fin à mon contrat. Parce que je suis désormais libérée. De toi. Et je ne m'en porte que mieux. Alors oui, je n'ai plus de travail pour le moment. Mais ça ne durera pas toute la vie. Je fais ce qu'il faut pour que cela change. Mais en tout cas, je ne suis plus prise dans ta toile d'araignée. Je revis, je ne suis plus polluée par ta mauvaise humeur, ta mauvaise foi. Maintenant que tous ces mauvais souvenirs sont réapparus, je les ai désormais balayés. Je me sens bien plus légère ce soir. J'ai compris certaines de mes appréhensions de ces derniers temps. C'est parce que, sans le savoir, j'avais ton ombre qui me suivait et me soufflait dans l'oreille que je n'y arriverai pas. Mais, en fait, SI. Je vais y arriver parce que tu n'existes plus pour moi. Tu n'es désormais plus qu'un vague souvenir. Et désormais, je choisis de me faire confiance. À nouveau. Lutter contre le stress et le burnout - En période de crise, la pression peut s'accroît sur les salariés comme sur les patrons et les managers. Dans une entreprise chacun doit redoubler d'efforts pour ne pas succomber au stress, au risque de se retrouver en situation d'épuisement, ce qu'on appelle le burn-out professionnel. Si rien ne remplace une véritable thérapie en cas de problème grave, il existe néanmoins des moyens pour prévenir le risque de dépression au travail, ou le réduire. Comment? C'est la vie a posé la question à Stéphanie Bertholon, psychologue et auteure de Vivre mieux dans un monde stressant Odile Jacob Côté manager ne pas nier les difficultés - "En ce moment, on sent que les salariés sont de plus en plus surveillés. Cela crée un rapport infantilisant avec entre les employés et leur hiérarchie, on crée de la méfiance," remarque Stéphanie Bertholon. La solution? "Ne pas nier les difficultés," explique-t-elle, surtout lorsque l'on renforce ses équipes. À éviter? Le discours du "estimez-vous heureux d'avoir un boulot" qui crée une pression inutile. Bien évaluer ce qu'on attend de vous - "Certaines personnalités comme les perfectionnistes ont du mal à évaluer ce qu'on attend d'eux," explique Stéphanie Bertholon. Difficulté à dire non, heures sup pour bien finaliser son travail, certains vont trop loin au risque de l'épuisement. "Il ne faut pas hésiter à demander aux autres ce qu'ils attendent de vous," conseille la psychologue. Un autre moyen consiste à tâter le terrain en faisant des petits test vis-à-vis de ses collègues et de ses supérieurs. Côté manager bien gérer les récompenses - Récompenses et autres bonus font partie des procédés qui permettent d'augmenter la motivation et la performance des salariés. Mais dans certains cas, "leur utilisation peut être contre-productive et favorise le risque d'épuisement de certains employés," remarque Stéphanie Bertholon. "Les récompenses émotionnelles, remercier pour un travail bien fait sont tout aussi importantes pour les membres d'une équipe," ajoute la psychologue. "Il faut trouver le bon équilibre entre récompenses financières et émotionnelles." Identifier ses peurs - Personne n'est identique, certains travailleurs ont des personnalités très fortes, d'autres pas. Avoir des peurs, des craintes est aussi normal que cela peut être source de stress, une angoisse souvent délétère pour le travail. "Il faut accepter et identifier ses peurs," recommande Stéphanie Bertholon. "Si j'accepte, je serai moins stressé, il faut abandonner la lutte." Inutile de vouloir aller au feu sans arrêt. Prendre une vraie pause déjeuner - "Le cerveau a besoin de ces rituels et de ces habitudes. Lorsqu'on sait que l'on va avoir une pause, on est plus calme. L'imprévisibilité est facteur de stress supplémentaire," rappelle Stéphanie Bertholon. "Au départ, le stress nous aide, c'est un allié. Mais lorsqu'il devient trop encombrant, il faut le ménager," explique-t-elle. La solution? Une vraie pause déjeuner, en dehors de l'entreprise si possible. Côté managers expliquer les sanctions - Rien de pire pour un salarié que de se voir appliqué une sanction sans savoir pourquoi. Déclassement, absence de récompense ou d'augmentation, le salarié qui ne sait pas pourquoi il n'aura pas été récompensée retournera le problème dans sa tête pour trouver l'origine de cette sanction. Autoriser et s'autoriser l'ennui - "Dans les entreprises où il y a de la créativité, il y a de l'oisiveté," rappelle Stéphanie Bertholon. Les grandes entreprises du web à l'image de Google ou LinkedIn en sont l'exemple. Elles ménagent des lieux et du temps pour permettre aux salariés de s'aérer l'esprit. "Ne pas lever les yeux de son travail sans prendre de pause épuise." Une évidence que la psychologue doit parfois rappeler à ses patients. "Le paradoxe, c'est qu'on plébiscite l'ennui pour les enfants, mais certains sont incapables de se l'appliquer à eux-mêmes," remarque-t-elle. Smartphone et laptop ces petits gestes qui font la différence - Inutile de le rappeler, chacun sait combien avec les smartphones le travail nous suit partout où nous allons, y compris et peut-être surtout à la maison. S'il est parfois indispensable de rester joignable par téléphone, "désactiver les notifications permet de se couper d'une partie du flux," remarque Stéphanie Bertholon. La psychologue rappelle cette étude qui a montré qu'un employé vérifie ses emails toutes les 6 minutes 30 au bureau, sans avoir réellement besoin. Une mauvaise habitude qui nous poursuit également à la maison. "D'autres gestes simples consistent à laisser son téléphone chez soi avant de sortir faire les courses par exemple." Dernier petit geste utile ne pas laisser son ordinateur portable ouvert sur la table de la salle à manger, du bureau ou du salon. "C'est un appel à se remettre au travail, à reconnecter sans véritable besoin," explique Stéphanie Bertholon. Faire une chose à la fois - Email, téléphone, réseaux sociaux, préparation d'une réunion ou d'un rendez-vous, le multitâche est désormais la règle dans de nombreuses entreprises. "C'est possible, mais cela use les batteries plus rapidement," rappelle Stéphanie Bertholon. "Faire une chose à la fois est plus écologique pour le cerveau." Conserver des activités - Le bien être est une question d'équilibre. Trop de travail sans activités parallèles qu'il s'agisse de sport, d'activités familiales ou encore de cuisine nuit à cet équilibre. "Ces activités permettent de se vider la tête, de penser à autre chose," rappelle Stéphanie Bertholon. Elle permettent également d'aborder fraîchement un problème ou une situation. Assis devant son ordinateur, on ne répond pas aux besoins de son corps. Bien dormir et bien s'alimenter - Les troubles du sommeil accélèrent l'épuisement, il faut donc veiller à son sommeil mais aussi à son alimentation. Sous l'influence du stress, on consomme plus d'excitants comme le café, mais aussi de produits gras et sucrés, eux-mêmes facteurs de stress. Voir le verre à moitié plein - Peut-être le plus facile à dire et le plus compliqué à faire, mais il n'est jamais inutile, en période de stress ou d'angoisse, de se remémorer ce qui a marché. "Cela nous paraît inutile ou contre-intuitif parce que nous sommes conditionné dès le plus jeune âge à avoir des notes et à être évalué," nuance Stéphanie Bertholon. "Mais cela n'empêche pas d'éduquer là-dessus, il faut enseigner l'optimisme," conclut-elle. Ce sera bientôt l'objet d'un nouvel article. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 13 Lutter contre le stress et le burnout - En période de crise, la pression peut s'accroît sur les salariés comme sur les patrons et les managers. Dans une entreprise chacun doit redoubler d'efforts pour ne pas succomber au stress, au risque de se retrouver en situation d'épuisement, ce qu'on appelle le burn-out professionnel. Si rien ne remplace une véritable thérapie en cas de problème grave, il existe néanmoins des moyens pour prévenir le risque de dépression au travail, ou le réduire. Comment? C'est la vie a posé la question à Stéphanie Bertholon, psychologue et auteure de Vivre mieux dans un monde stressant Odile Jacob J’étais à tes côtés, ce dimanche Pour te donner un bisou, vers toi je me penche Délicatement, mon amour je dépose sur ta joue Tu ne réagis pas, on dirait que tu t’en fous Je ne vois plus de bonheur dans tes yeux A la vie, tu as déjà dit adieu La maladie te tue, t’anéantie Plus jamais tu ne seras guéri Trouve en moi une once d’espoir Dans mon calice d’amour viens boire Je t’en supplie accroche toi à la vie Ne sombre pas dans le noir de l’infini Un grand sentiment d’impuissance Face à ta détresse immense Je suis inondée de tristesse Quand tu dis je veux que ça cesse » J’aimerais déplacer des montagnes pour te guérir Au lieu de rester là à te voir mourir Papa je t’en conjure secoues-toi Bats-toi, fais le pour moi Quoi que tu décides je serais là Pour le meilleur, comme le pire Avec toi j’avancerais pas à pas A tes côtés jusqu’à ton dernier soupir PAPA ton absence sera un supplice éternel

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